Le stresse monte peu à peu... [Libre]

Il était six heures. Le réveil de Mia se mit à sonner et cette dernière se réveilla. Elle se leva, fit son lit, ouvrit un coup la fenêtre de sa chambre et s'habilla. Puis, au moment du déjeuner, la demoiselle s'apperçu vite fait que les placards étaient vides. Elle descendit en courant à la boulangerie la plus près et acheta un croissant et un pain au chocolat. Ensuite, elle remonta tel un éclair. Tout le monde la regardait et se demandait ce qu'elle faisait. Arrivée chez elle, la jolie jeune fille sortit un verre, du lait et posa le sachet de viennoiseries sur la table. Elle se mit enfin à manger. A la fin de son repas, Mia regarda sa montre. Il était déjà sept heures. A peine le temps de traîner dans sa chambre une dernière fois. Son manteau sur elle, elle claqua la porte et coura tout le long de sa rue. Avant d'arriver au pensionnat Keizo, il fallait tourner une fois à droite, puis à gauche, puis encore à droite et enfin à gauche. Mia put maintenant voir la grande porte du pensionnat, elle était toute essouflée. Jamais elle n'avait aussi vite courrue. Une vraie athlète aujourd'hui. Les grandes portes s'ouvrirent et là, Mia sut que le stresse monta. Il monta, monta, jusqu'à la faire s'asseoir sur un banc. C'était terrible. Elle n'avait pas faim, pas soif, envie de rien. Elle ne se sentait pas très à l'aise comme dans la période des règles. Mais elle dépassa son stresse et continua tout droit vers un escalier. La poussière était présente sur toutes les marches et avec sa maniaquerie, Mia sortit l'aspirateur et commença à asprirer quand quelqu'un vînt à elle...

Invité

5h30, Shinobu se levait avec peine, la veille, elle avait fait la fête avec ses amis et avait comment dire...pris une cuite ! Bref, la jeune fille se leva encore en pyjama et en pantoufle et descendit vers la salle de bain où elle se fit couler un bain moussant relaxant seulement, sa notion du temps n'étant pas très éxpérimentée, elle oublia l'heure et sortit de son bain à..6h30!! Vite vite, elle se pressa vers sa penderie et choisis des vêtements pratiques et classe: un jean délavé et plissé à certains endroits, un haut noir avec une grosse cerise imprimée dessus et un gilet bleu et des ballerines un peu pointues. Sa coiffure, elle en s'en préocupait jamais, enfin presque car les cheveux courts c'est pratique mais il faut quand même passer le coup de peigne. La jeune fille se regarda dans le miroir et pensa *c'est vrai que je lui ressemble...*. Ses amies la râbachait tout le temps avec ça, "tu ressemble à Mitsune Konno de Love Hina avec ton accent du Kansai et tes cheveux courts!" "En plus t'à des yeux de renard !". Shibu-chan en avait marre mais d'un autre côté, quitter la vie mouvementée de Tôkyô, ses amis, sa famille, sa vie en quelque sorte...Lui paraissait de plus en plus idiot mais d'un autre côté arriver à faire de sa passion un métier était son rêve le plus cher alors, Shinobu effaça de son esprit les raisons qui aurait put la pousser à rester car son rêve passait avan tout.Elle se coiffa donc, se maquilla et enfila son perfecto noir. La styliste en herbe sortit de son appartement et ferma à clé *pour longtemps* pensa-t-elle. Le taxi l'attendait devant l'immeuble, elle s'engouffra à l'interieur et y sentit l'odeur de l'art, mine de crayon, papier, glacé, négatif et peinture fraîche. Justement, Shinobu sortit de son sac un carnet à dessin et un crayon de papier mine 2B et se mit à faire des croquis, quand l'inspiration lui venait, elle oubliait tout ce qui se passait près d'elle. Elle répondait distraitement au chauffeur qui lui posait des questions sur sa passion. Enfin, la voiture s'arrêta et elle descendit. Un bateau l'attendait, elle y monta et y découvrit plusieurs autres pensionnaires, certains entrain d'appuyer frénétiquement sur le bouton de leurs appareils photos, d'autre en train de refaire une beauté au bateau en le peignant de partout et un peu plus loin, ceux qui interrogeait le conducteur du bateau en notant quelques trucs sur des carnet, enfin Shibu-chan aperçu le coin des styliste, son coin. Quelques adolescents fringués comme elles, assez original quoi, était en train de griffoné des modèles sur des carnet, la jeune fille s'approcha, les salua et prit place avec eux. Le voyage ne dura pas très longtemps, une fois arrivée à l'école, elle en ouvrit la porte et se trouva dans le hall où une fille semblait assez perdue.

Bonjour, je m'appelle Tanaka et toi?

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