Miharu Hasegawa

Nom : Hasegawa .
Prénom : Miharu .
Age : 17 ans .
Sexe : Féminin .
Préférence : Hétéro .
Formation choisie : Journalisme .
Nationalité du personnage : Japonaise .

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Physique : Autant vous le dire tout de suite, Miharu est atteinte d'albinisme. Eh oui, ça commence bien, me direz-vous. Mais rassurez-vous, ce n'est rien de grave. En voici plutôt ses symptômes: Miharu a une peau d'une pâleur alarmante du à l'absence de pigmentation. Elle doit alors éviter un maximum le soleil pour éviter de générer un cancer de la peau qui serait très probable dans son cas. C'est pour cette raison que la jeune fille se balade avec une capuche sur la tête et les mains dans les poches et tout et tout même s'il fait 40°C dehors ... hem. Ensuite, Miharu possède de grands yeux rouges ( du aussi à l'absence de pigmentation ou ... non plutôt de mélanine, mais on s'en tape ) surmontés de longs cils peignés avec soin ( non, ça, ce n'est pas un symptôme ). D'ailleurs, à cause de ça, elle a une très mauvaise vue et porte quelques fois des lunettes, enfin surtout pour les cours, parce qu'elle déteste les mettre, en vérité. À cause de cette maladie, elle subit donc un nystagmus, c'est-à-dire que, comme ses yeux sont mal coordonnés, il lui arrive quelques fois que ses pupilles partent lentement d'un côté puis se remettent brusquement à sa place d'origine; cela peut arriver plusieurs fois à la suite ou pas, tout ça est involontaire, bien sûr. Cela a l'air bénin comme ça, mais c'est assez agaçant à vivre. Et que dire de ses cheveux? Non, ils ne sont pas blancs. Mais tout ça est simplement dû aux très nombreuses colorations que Miharu a fait subir à son cuir chevelu ( d'ailleurs elle n'a pas encore arrêté ) si bien qu'ils sont désormais rouge étincelant, presque accordés à ses yeux, tout ça coupés au carré. Il faut dire que ça lui va bien, quand même ... non?
Signes particuliers : Euh ... quasiment toute la description ... ^^'.

Caractère : Miharu est une jeune fille au caractère assez timide et renfermée. Il faut dire que sa différence citée au dessus ne l'a pas vraiment aidée à s'intégrer, que ce soit à l'école ou n'importe où, en fait. Les gens ayant peur de la différence, et ça c'est très bien connu, avouons-le, beaucoup rejettent la jeune Miharu; évidemment, c'est bien pour cela que cette dernière a tendance à s'enfermer dans sa carapace. Néanmoins, avec ses quelques amis ( il faut avouer que ça ne se bouscule pas trop au portillon ... ), Miharu est une chouette fille qui aime rire, raconter des blagues, papoter pendant des heures, partager ses goûts, ses humeurs, ses coups de cœur du moment et ses coups de gueule ( ce qui arrive le plus souvent ), enfin bref, elle fait tout ce que fait une adolescente normale. Sa maladie n'affecte en aucun cas son mental et Miharu est une personne très équilibrée, raisonnable et qui a le sens des responsabilités. C'est une bonne élève car, comme elle est souvent rejetée, elle noie sa frustration dans le travail et décroche d'excellentes notes par la suite. Tout ça renforce son rang de "monstre solitaire" aux yeux des autres qui pensent tout de suite qu'elle n'a rien d'autre à faire qu'étudier ... ce qui d'ailleurs est vrai, mais bon. La jeune fille espère donc fortement que les élèves du pensionnat où elle va se rendre l'accepteront comme elle est, et ce sera bien la première fois. Était-elle tombée sur les mauvaises personnes ou est-elle vraiment ... un monstre?
Passe temps, goûts : Étudier, le journalisme, bien sûr, la musique ( elle apprécie tout particulièrement le rock et en suivant cette branche: le punk, le rock anglais, le rock indé et quelques fois l'electro rock ). Elle aime beaucoup les parfums et adore traîner dans les boutiques qui en vendent pour humer ces senteurs harmonieuses même jusqu'à en avoir mal au crâne.
Tics / Phobies : Pour les tics, j'ai cité le nystagmus précédemment mais à part ça, elle se craque les doigts assez souvent. Elle a une peur phobique du vide et a peur de certains insectes.

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Histoire du personnage : Miharu est née à Tokyo le 27 Décembre 1991, juste après Noël, dans une nuit froide et enneigée. Cette forme d'eau, plus ou moins, décida de lui prêter un peu de sa blancheur, peut-être, cette nuit là, car la jeune fille naquit albinos, la peau et les cheveux blancs comme la neige. Si ses cheveux auraient été noirs, on l'aurait sûrement appelée Blanche Neige mais bon ... en plus ses yeux faisaient quasiment peur donc pour une princesse, ce n'était pas gagné d'avance. Ses parents, bien sûr, l'acceptèrent comme elle était, ce qui était absolument normal. Après tout, ce n'était que quelques différences physique, ce qui était très peu pour arracher l'amour parental à un enfant. Ses parents décidèrent de l'appeler Miharu, ce qui signifie beau ciel clair. Une signification harmonieuse à l'oreille et en référence à un ciel laiteux ressemblant à sa peau et ses cheveux purs.
La petite fille grandit normalement, inondée et irradiée d'amour tous les jours, toutes les heures, toutes les minutes, toutes les secondes sans exception. Ses particularités avaient le don de renforcer les liens entre elle et ses parents qui la trouvaient vraiment exceptionnelle, et pas seulement parce que c'était leur fille. Vint le jour où la jeune Miharu dut aller pour la première fois à l'école. La petite fille était très enthousiaste à l'idée de cette nouvelle activité. Ce fut donc sur un pas enjoué et heureux que l'enfant se rendit vers l'endroit où sa paix allait être interrompue et sûrement anéantie. Arrivée à destination, Miharu voyait que les autres enfants la regardait bizarrement et ne voulaient pas la toucher ni jouer avec elle. Ne comprenant pas, la petite fille resta dans son coin à regarder les autres s'amuser en essayant d'oublier le "monstre" qui était entré dans la maternelle.
Miharu arrivait en fin de primaire et rien, absolument rien n'avait changé. Seuls quelques enfants avaient ignoré sa maladie et étaient devenus ses amis. Malheureusement, la petite dut les abandonner suite à son arrivée au collège puisqu'ils n'allaient pas dans le même établissement respectivement. Et là bas, tout recommença. Tout le monde la regardait en chien de faïence et la 6ème fut l'année la plus difficile de sa vie. Pourquoi tout le monde s'entêtait à vouloir la rabaisser pour ce qu'elle était? Elle n'avait rien fait de mal, elle ne faisait qu'exister ...
Miharu commençait à sombrer dans la déprime et s'accrocha aux études, elle passait ses journées à étudier, s'exercer, apprendre pour oublier les autres. Seuls ses parents arrivaient à la réconforter, quelques fois. Au fil des ans, quelques personnes aussi lui adressaient la parole, mais ça s'arrêtait là. La jeune fille ne comprenait rien à ça et resta renfermée sur elle-même.
Un jour, en regardant un reportage à la télévision, Miharu découvrit sa vocation: elle voulait devenir journaliste. Après tout, c'était une excellente élève, elle se sentait vraiment capable d'y arriver et, au moins, c'était quelque chose qui la motivait beaucoup. Ses parents l'encouragèrent d'abord, puis lui confièrent que pour entrer dans ce métier, il fallait avoir un minimum de connaissances dans le milieu du journalisme, des amis ou de la famille qui exerçaient cette profession et qui pourraient la faire entrer plus facilement dedans. Autrement, il fallait sérieusement s'accrocher. Mais Miharu ne renonça pas. C'était son seul rêve, un but dans sa vie qui pointait enfin le bout de son nez. Touchés par ça, ses parents comprirent et l'aidèrent le plus possible.
La jeune fille faisait beaucoup de recherches sur le sujet et tomba un jour sur le site internet d'un pensionnat nommé Keizo. Le programme était alléchant et Miharu postula immédiatement. Après en avoir parlé à ses parents, la jeune fille surveillait le courrier chaque jour, désespérant de recevoir une quelconque information sur sa postulation. Heureusement, le messie arriva sous forme d'enveloppe. Miharu découvrit avec une joie immense qu'elle était acceptée dans cette école. La jeune fille irradiait de bonheur et ses parents étaient comblés de la voir enfin heureuse. Et même s'ils étaient tristes de laisser partir leur petit bout, ils savaient qu'ils avaient fait le bon choix. Quelle est la meilleure récompense que celle de l'accomplissement du rêve de votre enfant?

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